تدمر السورية أجمل مدن التراث العالمي
بقلم المؤرخ الدكتور محمود السيد-المديرية العامة للآثار والمتاحف والإعلامي محمد عماد الدغلي
Écrit par l’historien Dr. Mahmoud Al-Sayed – Direction générale syrienne des antiquités et des musées et le journaliste Muhammad Imad al-Daghli
Palmyre, la perle du désert syrien, est un lieu à l’histoire très riche, située à proximité d’une oasis du désert de Syrie (qui sépare la Syrie de l’Arabie), à 218 km au nord-est de Damas et dont les ruines sont adjacentes à la ville moderne de Tadmor, se trouvent à 100 kilomètres de Homs, et à 240 kilomètres au Sud-Ouest de Deir Alzor, sur l’Euphrate.
Ses ruines imposantes occupent une longueur de 3 kilomètres environ du Sud-Est au Nord-Est, sur un sol artificiellement exhaussé, dont l’altitude est de 400 m au-dessus du niveau de la mer. Palmyre fut l’un des plus importants foyers culturels du monde antique. C’est une ville d’une valeur universelle exceptionnelle, un joyau de l’Antiquité parmi les mieux préservés et dont la valeur est inestimable pour la mémoire humaine. La ville faisait partie d’un réseau marchand reliant la Syrie à la Mésopotamie et à la côte méditerranéenne. la cité antique fut au croisement des influences de la Méditerranée gréco-romaine et de la Mésopotamie parthe, des cultures de la Syrie des sédentaires et du monde des nomades du désert. La cité antique de Palmyre figure parmi les six sites syriens inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.
Des témoignages archéologiques montrent que le site de Palmyre, occupé dès la préhistoire. il semble qu,il devait déjà être un centre caravanier d’importance dès le IIe millénaire avant notre ère, à une époque où il se trouvait sous domination amorrhéenne. Palmyre était alors un centre du négoce entre les régions du golfe et de Babylonie et celles de Syrie et des rivages de la Méditerranée.
il est précisé que l’antique Palmyre a été mentionnée pour la première fois au IIe millénaire av. J.-C. La plus ancienne mention de Tadmor se trouve sur des tablettes des marchands assyriens de Cappadoce au xixe siècle avant notre ère. Son nom figure à nouveau dans les archives royales de la ville de Mari, sur le Moyen-Euphrate. Il est ensuite mentionné à Émar (au coude de l’Euphrate) au XIVe siècle, et dans les annales royales assyriennes au XIe siècle.
Quand les Séleucides prennent le contrôle de la Syrie en 323 av. J.-C., la ville devient indépendante. Le nom de Palmyre est mentionné pour la première fois dans les sources gréco-romaines en 41 av. J.-C.
à partir de 41 av. notre ère. Marc Antoine lance les légions romaines contre la ville pour y faire du butin. Sans succès car les Palmyréniens, prévenus, ont fui vers l’est. En effet, les Romains tentèrent de piller Palmyre, mais échouèrent.
elle tomba sous contrôle romain dans la première moitié du Ier siècle et fut rattachée à la province romaine de Syrie. Il connut un formidable développement urbain à partir du premier siècle de notre ère grâce à son intégration dans l’empire romain sous Tibère avant 19 ap. j-c., (multiples preuves confirment cela, notamment la présence d’une garnison romaine, d’un poste de douane romain avec des publicains, et l’érection d’une statue à l’empereur Tibère entouré de ses deux fils en 19).
grâce à sa position isolée, à la fertilité de son sol, aux sources qui arrosaient ses champs, que les sables environnaient de toutes parts, et à l’habileté avec laquelle elle avait su se maintenir indépendante, et conserver une situation mixte et respectée entre deux grands empires rivaux, celui des Parthes et celui des Romains, Palmyre devint peu à peu une cité prospère sur la route reliant la Perse, l’Inde et la Chine à l’Empire romain. C’est que la ville s’enrichit rapidement. Bien loin de la pénaliser, l’annexion par Rome lui permet de jouer pleinement le rôle qui est le sien depuis sans doute déjà longtemps: l’intermédiaire obligé des marchands qui veulent commercer avec la Mésopotamie et les régions situées au-delà.
En 106 après J.-C Palmyre bénéficie de la ruine de Pétra, occupée par Rome, et de la fermeture de la route de la soie en 127 après J.-C.; elle se constitue alors un monopole du transport des marchandises de l’Inde.
En 129, Palmyre est déclarée ville libre par l’empereur romain Hadrien et connaît son âge d’or au IIe siècle après J.C. L’empereur Caracalla accorde à Palmyre le titre de colonie romaine en 212. L’armée romaine y entretenait une garnison de soldats auxiliaires dans un camp au nord de la ville. Palmyre commence à jouer un rôle politique important lorsque l’installation des Perses à Charax menace de ruiner son commerce.
Au cours de la crise du IIIe siècle, Palmyre échappa aux invasions perses qui ravagèrent la Syrie. Son commerce périclite, en raison de de l’état de guerre qui règne entre Rome et les Perses, ce qui rend les routes peu sûres. Depuis les années 230, les Perses, arrivés au pouvoir en Mésopotamie et en Iran, ont conduit plusieurs expéditions très destructrices en Syrie, sans que les empereurs romains ne parviennent à les en empêcher. Dans les années 250, un sénateur romain originaire de Palmyre, Odeinath, prend la tête de la milice de Palmyre, la réunit aux troupes romaines de Syrie en 259-260. Après 260, Odénat, qui fut chargé par l’empereur Gallien de coordonner la défense de l’Orient. il marcha contre les Perses, conquit la Mésopotamie et défit Sapor sous les murs de Ctésiphon, c’est pour cela que l’empereur lui donna le titre d’Auguste et le reconnut pour collègue (264). En 267 après J-C, le gouverneur arabe de Palmyre Odeinat est mystérieusement assassiné. Son épouse Zénobie prend le pouvoir. La prospérité de la ville culmina au troisième siècle, à l’époque de la reine Zénobie, qui défia l’empire romain. Poussée par son désir de liberté et de gloire, et grâce au désordre qui régnait dans l’Empire, Zénobie prend possession de la Syrie en 270, envahit l’Egypte et lance ses troupes jusqu’au Bosphore, avant d’être renversée en 272 par l’empereur Aurélien.
Néanmoins, la ville se révolta bientôt. La garnison établie à Palmyre fut massacrée. Aurélien, se hâta de revenir, et tout fut pillé et saccagé (273). Le rêve impérial de Zénobie prend fin. Elle est emmenée à Rome pour être exhibée lors du triomphe d’Aurélien. Palmyre continuera à jouer le rôle de ville frontière de l’empire. Une légion avait été installée dans un camp aux limites nord-ouest de la ville.
Sous le règne de Dioclétien, les murs de la cité furent rebâtis. Sous Justinien au vie siècle, l’enceinte fut renforcée de tours, et les adductions d’eau furent restaurées, reçut une nouvelle garnison qui constituait le poste avancé de la Syrie contre les invasions des Perses, et car elle est un maillon du système de défense de Rome en Orient. Devenue le siège d’un évêché, Palmyre vit alors sans doute convertir en églises chrétiennes plusieurs de ses temples. au début du Ve siècle de notre ère un ouvrage que l’on connaît sous le nom d’Histoire Auguste, écrit par un auteur romain anonyme, parle de l’histoire de Palmyre et de Zénobie. Les Arabes musulmans s’en emparent, quand elle ouvrit ses portes en 634 à Khalid ibn al-Walid. Sous les califes omeyyades, la ville évolue. Ruinée par un tremblement de terre au XIe siècle.
Au temps des Croisades, Palmyre dépend des émirs seldjoukides de Damas, puis passe au pouvoir de l’atabeg bouride Tughtekin, puis de Mohammed fils de Shirkuh, en tant qu’émir de Homs dépendant de Saladin. C’est quand Palmyre dépendait des Bourides de Damas qu’en 1132 le chambellan Nasir ad-Din transforme le sanctuaire de Bel en forteresse. La cella du temple est transformée en mosquée. en 1172, Benjamin de Tudèle visite Palmyre et y trouva une colonie qu’il estime à quatre mille âmes.
Au xiiie siècle, la ville passe sous le contrôle du sultan mamelouk Baybars (le texte d’un décret de Baybars relatif aux droits de pâturage des habitants de Tadmor a été retrouvé gravé sur le mur est de la cella de Bel). La ville fut pillée par Tamerlan en 1401, mais semble s’en être relevée.
Au xvie siècle, Fakhr ed-Din al Maany fait construire un château fort, le Qalat Ibn Maan, sur la montagne qui domine la ville à l’ouest. À l’époque ottomane, Palmyre décline.
Au début du XVIIe siècle, la Mésopotamie commence à attirer les voyageurs européens, comme Pietro della Valle, qui évitent les environs de Palmyre, alors occupés par des tribus bédouines hostiles.
En 1678, une première expédition. En 1691, une seconde tentative réussit et le pasteur Wiliam Hallifax témoigne de ces observations dans les Philosophical Transactions en 1695. Au côté des inscriptions grecques, il reproduit des caractères palmyréniens, variante de l’araméen alors indéchiffrable. en 1705, la venue des voyageurs français, Giraud et Sautet puis celle du médecin naturaliste Claude Tourtechot dit Granger en 1735 sont restées très confidentielles, faute de publication de leurs expéditions respectives.
Après un voyage de deux ans en 1751-1752, accompagnés des antiquaires John Bouverie et James Dawkins, Robert Wood publie en 1753 The ruins of Palmyra; otherwise Tedmor in the desert. Cet ouvrage, regroupant des descriptions et des dessins des monuments, connaît un succès notable en Europe. À partir de copies d’inscriptions bilingues plus soignées que celles antérieures, Jean-Jacques Barthélemy déchiffre le palmyrénien et présente le résultat de ses travaux en 1754, devant l’Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres.
Jusqu’au milieu du xixe siècle, le voyage à Palmyre est encore semé d’embûches et de dangers, mais cela ne décourage pas pour autant les aventuriers : le Suisse Johann Ludwig Burckhardt en 1811, les Anglais William John Bankes en 1816, Charles Irby et James Mangles en 1818, et le Français Léon de Laborde en 1827, pour les principaux, tous se disaient impressionnés par le site.
En 1869 une grand ouvrage publié par Vogüé, sous le titre de Syrie centrale et Inscriptions sémitiques, cet orientaliste divisait en quatre catégories différentes les inscriptions palmyréniennes sur lesquelles il appelait l’attention du monde savant. Inscriptions honorifiques, inscriptions funéraires, inscriptions religieuses et légendes.
Au xixe siècle, les Ottomans y installent une petite garnison, tandis que les archéologues venus d’Europe et des États-Unis pour font commencer l’étude systématique des ruines et des inscriptions.
L’étude scientifique du site commence véritablement au début du XXe siècle, avec les campagnes allemandes d’Otto Puchstein en 1902, de Theodor Wiegand en 1917 et de Daniel Krencker en 1928. Un bilan de ces recherches est publié en 1933, dans lequel la description des monuments, accompagnée de dessins des coupes architecturales et un compte-rendu des restaurations, fait encore autorité. Après la Première Guerre mondiale, L’armée française implante à Palmyre une unité de méharistes. Parallèlement, d’autres monuments du site furent restaurés entre 1930 et 1932, comme le grand arc datant début du iiie siècle apr. J.-C. dont une des petites arcades était écroulée et dont la partie centrale accusait une grande fragilité. Un grand hypogée funéraire, celui de Yarhai, fut fouillé en 1934-1935 et son exèdre ouest. Le nom de Robert du Mesnil du Buisson, directeur de plusieurs missions archéologiques en Syrie et en Égypte entre 1919 et 1939, reste d’ailleurs « attaché à une importante mission archéologique française à Palmyre dont il eut la charge.
En 1929, alors que le territoire est sous mandat français, Henri Seyrig, directeur des Antiquités de Syrie et du Liban, initie et supervise la campagne de dégagement et de restauration du temple de Bêl après en avoir expulsé les habitants.
Robert Amy, architecte DPLG, s’acquitte de cette tâche de 1935 à 1945, mais s’intéresse également à la refection des Trois Arcs, ainsi qu’à l’étude de la tour d’Elahbel et de l’hypogée Iarhai. De 1933 à 1935, Daniel Schlumberger dégage des sanctuaires de la Palmyrène et étudie le développement urbain de la ville, écrivant par la suite sur sa fiscalité et ses cultes. En 1940 L’agora, grande place fermée avec un péristyle intérieur, fut quant à elle dégagée de l’accumulation de sable qui l’avait presque fait disparaître. Lors de la Seconde Guerre mondiale, Palmyre est prise par les Britanniques le 3 juillet 1941, après une bataille de treize jours contre les troupes françaises du régime de Vichy. Les véritables fouilles sont menées par la Suisse entre 1945 et 1960 et par la Pologne.
En 1965 et 1967, Robert du Mesnil du Buisson dirige deux campagnes, dont l’un des buts est de chercher des vestiges antérieurs à l’époque héllenistique.
De 1959 à 1966, Kazimierz Michalowski débute les premières campagnes polonaises et découvre des erreurs dans les plans urbains précédemment élaborés. Donnant lieu à cinq volumes, les recherches portent notamment sur le temple des Enseignes, principia du camp romain, et ses abords. Anna Sadurska lui succède en 1970, puis Michał Gawlikowski à partir de 1973, dirigeant les fouilles pendant près de 40 ans.
Le site est classé patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1980. Le site a été classé monument national et il est maintenant protégé par la Loi nationale sur les Antiquités n° 222, telle qu’amendée en 1999. En 2000 des tombeaux de la nécropole sud-est avaient été restaurés superbement par des archéologues japonais.
En mai 2005, c’est une équipe polonaise qui fouillait le temple de Lat, où elle a mis au jour une statue de pierre très finement détaillée de Nikè “déesse ailée de la Victoire”. Au site de Palmyre, une zone tampon a été établie et proclamée en 2007 mais n’a pas encore été soumise au Comité du patrimoine mondial. Depuis 2013, Palmyre figure sur la liste du « patrimoine mondial en péril ».
La ville était construite selon une structure occidentale (les murs qui environnaient la ville étaient flanqués de tours carrées). et à s’élaborer un vaste plan d’urbanisme sur la rive nord du wadi qui la traverse alors que le quartier ancien occupait la rive sud. C’est la «ville romaine» avec ses rues à colonnades, son arc, ses édifices nouveaux (agora, théâtre, salle du conseil, thermes), dont la construction s’étale jusqu’au milieu du IIIe siècle.
Partant du temple de Bel, une rue à colonnades, qui correspond à l’ancien decumanus, conduit au reste de la ville antique. Un arc monumental, datant de Septime Sévère (début du iiie siècle) ouvre la voie triomphale et présente de riches décorations. La grande avenue à colonnes qui traverse la ville, bordée de boutiques, dotée de canalisations d’eau, mène de là au temple dédié à Nabô. Vers le nord se trouve le temple de Baalshamin (ier-iie siècle), consacré au « maître des cieux », phénicien et qui occupe un espace bien plus réduit. La grande colonnade aboutit au site appelé Camp de Dioclétien, de la fin du iiie siècle, et qui peut être soit un camp militaire, soit un palais.
La grande colonnade qui traversait la ville dans les trois quarts de sa longueur était l’une des merveilles de Palmyre et du monde. Elle avait environ mille deux cents mètres de long et consistait primitivement en quatre rangées de colonnes formant trois vastes avenues, une centrale et deux latérales de moindres dimensions en largeur. On a calculé que, lorsqu’elle était entière, elle comptait plus de mille cinq cents colonnes, dont cent cinquante sont encore en place; les autres sont couchées à terre avec leurs chapiteaux corinthiens brisés. Leur hauteur était de dix-sept mètres. Chacune d’elles avait une sorte de console engagée dans son fût, vers son côté intérieur, console destinée à porter un buste ou une statue.
il y a un monument en grande partie restauré, appelé tétrapyle (monument à « quatre colonnes »), qui consiste en un soubassement soutenant quatre ensembles de quatre colonnes (une seule de ces colonnes est d’origine, en granite égyptien).
le théâtre présente aujourd’hui neuf rangées de gradins, mais il devait en comporter seize à l’origine, grâce à l’adjonction d’une structure en bois. Il a été daté du début du ier siècle de notre ère. Derrière le théâtre se trouve un petit Sénat, où les notables locaux examinaient les lois et les décisions politiques, et ce que l’on nomme « cour du Tarif », à cause d’une inscription laissant penser à la perception d’un droit de péage coutumier pour les caravanes. À proximité s’étend la grande agora (48 × 71 m), avec les restes d’une salle de banquet (triclinium). L’entrée de l’agora était décorée de statues de Septime Sévère et de sa famille. au sud-est de la ville antique les vestiges de luxueuses maisons décorées de mosaïques, comme la « Maison d’Achille », avec ses dix-sept pièces, et celle « de Cassiopée ».
Les dieux sont souvent représentés porteurs de l’uniforme militaire romain. les Palmyréniens de l’époque hellénistique adoraient une divinité suprême nommée Bôl qui signifie « le Seigneur » dans le dialecte araméen de Palmyre. Très tôt, sous l’influence de Babylone, ce dieu suprême fut désigné comme Bel, forme babylonienne. D’autres dieux lui étaient associés comme Aglibôl et Malakbêl. On situe le centre primitif de Palmyre sur le tell où se trouve le sanctuaire de Bel depuis au moins le début du ier siècle de notre ère. Ce sanctuaire construit en plusieurs années est une telle nouveauté pour le site de Palmyre.
Donc, le culte le plus important était rendu à Bel, le dieu protecteur de la cité. C’est à lui que fut dédié l’immense temple de Bêl, qui est l’édifice le plus imposant de Palmyre, et qui a pu être décrit comme le plus important édifice religieux du premier siècle de notre ère au Moyen-Orient, et l’un des mieux conservés. il a été consacré en 32 ap. J.-C., la construction des portiques se prolonge jusque sous Hadrien. Le temple mesure 205 × 210 m. Le portique ouest et l’entrée (propylée) datent du iie siècle. Il se dressait au centre d’une vaste cour à portiques d’ordre corinthien orné de dizaines de statues de bienfaiteurs ayant contribué à le construire. à l’intérieur de laquelle se trouvaient aussi un autel monumental, une salle de banquet, des bassins à ablutions et des chapelles pour les divinités honorées dans le sanctuaire aux côtés des divinités principales. Sur l’immense parvis ouvert sur la ville par des propylées entourés de deux tours se trouvaient un bassin, et surtout la cella monumentale, à laquelle sans doute seuls les prêtres pouvaient accéder. À l’intérieur, deux niches surélevées (l’équivalent du Saint des Saints) contenaient les statues divines. On y plaça au Ier siècle aussi la statue de Germanicus et de Tibère. Ce sanctuaire, à peu près contemporain du Temple de Jérusalem bâti par Hérode Ier le Grand, lui était très comparable, tant pour les dimensions que pour la disposition générale et le style architectural.
Le temple lui-même était un parfait exemple architectural de la fusion des cultures de la Mésopotamie (porte sur le long côté, niches aux extrémités de la cella, fenêtres, merlons du toit en terrasse auquel on accédait par des escaliers) et de l’Occident gréco-romain (péristyle à colonnes cannelées, ordre ionique et corinthien, sculptures du répertoire gréco-romain).La cella à niches et à terrasse accessible et les aménagements des alentours évoquent un culte aux rites particuliers, processions avec chapelles portatives, sacrifices et repas sacrés. il semble bien que le grand temple était une sorte de centre religieux de Palmyre, où les différentes tribus pouvaient se trouver représentées.
Dès 1930, Henri Seyrig avait organisé le déplacement de la population de Palmyre qui vivait dans les ruines imposantes du grand temple de Bêl pour la reloger dans une ville nouvelle au nord du site. Seyrig organise alors la fouille archéologique du temple de Bel avec, en particulier, R. du Mesnil du Buisson qui travaille à la fouille du temple de Bêl et conduit celle du temple de Baalchamin.
Le petit temple de Baal-Shamin était un des endroits les plus charmants de la cité antique de Palmyre. c’est un des vestiges les mieux conservés du site syrien de Palmyre. Construit à partir de l’an 17 après J.-C., il était dédié au dieu des Cieux, maître de la pluie et de la fécondité. La ville prospère donc, et paraît digne à l’Empereur Hadrien de recevoir sa visite en 129. Une belle inscription du temple de Baalshamin datée en 130 raconte comment un notable local a payé tous les frais du séjour impérial et de sa suite, et, en plus, a fait embellir le temple de Baalshamin.
à l’ouest de la ville un sanctuaire à la déesse arabe Al-lat, assimilée par les Grecs à Athéna. Dans ce temple, fouillé par les archéologues polonais, ont été retrouvées deux statues d’Al-lat : la première, du ier siècle, représente la déesse comme un lion protégeant une gazelle; la seconde, plus récente, est tout simplement une statue en marbre d’Athéna, dans le style de Phidias, importée de Grèce.
Au sud du sanctuaire de Bel se trouvait le sanctuaire de Nébo, un dieu d’origine babylonienne, assimilé par les Grecs à Apollon. le sanctuaire de Nabû se présente comme un complexe religieux de petite taille et de forme trapézoïdale. Il a été fondé au cours de la seconde moitié du ier siècle, s’est développé entre 80 et 180 après J.-C. De par son architecture, le petit temple demeure en tout point typique des canons stylistiques syriens de l’époque hellénistico-romaine. D’autres dieux étaient attestés à Palmyre : Arsou et Azizou, dieux chameliers protecteurs des caravanes, ainsi que le dieu Hammon, d’origine surmment égyptienne.
L’originalité de Palmyre tient à son architecture funéraire. En dehors des murs de cité de Palmyre, les Palmyréniens construisirent de nombreux monuments funéraires, pour la plupart familiaux. Une partie des vestiges forme aujourd’hui la « Vallée des tombeaux », nécropole qui s’étend sur une longueur d’un kilomètre, avec une série de grandes structures très richement décorées. Les tombeaux sont principalement de trois types : tours funéraires de plusieurs étages, hypogées en sous-sol pour les classes moyennes, et temples-tombeaux pour les plus tardifs. Ces tombes ont été creusées ou construites avec des compartiments (« loculi ») où les morts reposaient étendus. Dans l’hypogée des « Trois Frères », le plus beau des tombeaux de Syrie, la riche décoration utilise en particulier la couleur bleue, coloris le plus difficile à obtenir et par conséquent le plus coûteux. Donc, la famille d’Elahbel est propriétaire d’une des plus belles tours de la vallée des Tombeaux, dédiée en 103 par Elahbel et ses trois frères. En ce qui concerne les caveaux souterrains ornés de niches contenant les bustes des défunts. La tombe la mieux conservée (reconstituée au musée de Damas) est celle de Iarhaï, commencée en 108 après J.-C. On accède à une chambre funéraire par des escaliers. Les murs sont creusés de loculi. Le mur du fond est occupé par une scène de banquet funèbre. Chaque sépulture est fermée d’une dalle ornée du buste d’un défunt.
Le 21 mai 2015, l’Etat islamique a pris le contrôle de toute la ville antique de Palmyre. Les dommages de Palmyre sont considérables. Le 10 juin 2015, les hommes de l’État islamique détruisent plusieurs tombes d’habitants de la ville de Tadmor. Fin juin 2015, les djihadistes détruisent la statue du Lion d’Athéna, vieux de 2.000 ans , pièce unique de trois mètres de haut, et pese 15 tonnes, qui avait été découverte en 1977 par une mission archéologique polonaise. Cette statue, qui tient une gazelle entre ses pattes, avait été restaurée en 2005 et installée à l’entrée du musée de Palmyre. C’est une des premières statues à avoir été restaurées, confie l’archéologue polonais Bartosz Markowski, qui avait déjà contribué en 2005 à une rénovation de la statue. Elle a été en 2015 renversée, martelée et cassée. Mais les morceaux éparpillés ont été assidument rassemblés.
La destruction de vestiges imposants démarre fin aout 2015 avec le temple de Baalshamin, celui de Bêl, les deux temples majeurs de Palmyre, puis sept tours funéraires, dont trois qui étaient particulièrement bien conservées. L’Arc triomphal (Un arc monumental, datant de Septime Sévère (début du iiie siècle) ouvre la voie triomphale et présente de riches décorations. et un certain nombre de colonnes.
Des tombeaux de la nécropole sud-est qui avaient été restaurés superbement par des archéologues japonais autour des années 2000 ont été intégralement détruits. Le château Qalat ibn Maan est également endommagé.
Le théâtre romain de neuf rangées de gradins date du premier siècle de notre ère. Lors de sa première occupation de la ville, de mai 2015 à mars 2016, l’EI y avait commis des exécutions publiques. Le 18 août 2015, l’ancien directeur des Antiquités de Palmyre, Khaled al-Asaad (âgé de 82 ans), expert de renommée mondiale du monde antique, est décapité par les hommes de Daech. Décapité publiquement pour avoir refusé de révéler l’emplacement des vestiges qu’il avait aidé à cacher. Son corps a été suspendu et exposé (Un corps décapité est attaché à un lampadaire au milieu de la rue. La tête repose entre ses pieds nus, sur le trottoir. Les tortionnaires de Daech ont pris soin de laisser les lunettes sur le visage, des verres épais sur une monture carrée). Il est né le 1er janvier 1934. Il n’avait, en fait, jamais vraiment pris sa retraite et restait toujours très actif, se sentant une sorte de mission à l’égard du site de Palmyre auquel il avait voué son existence. Très jeune, il s’était intéressé à l’archéologie qui en était seulement à ses débuts en Syrie. Khaled Al As’ad fait sa scolarité à Homs. Puis, dans les années 1960, il s’inscrit en histoire à l’Université de Damas. Sa licence en poche, il entre comme fonctionnaire à la Direction générale des Antiquités et Musées de Syrie à Damas. Un an plus tard, en 1963, le jeune Khaled Al As’ad est nommé à Palmyre comme conservateur en chef du nouveau musée de Palmyre et Directeur des Antiquités de Palmyre. Ses fouilles ont toujours été suivies de restaurations. Ce sont ces restaurations efficaces, discrètes et intelligentes qui, en fait, ont donné leur visage actuel aux ruines. Et dès la première année de sa nomination à la direction des Antiquités, il a commencé à publier un certain nombre de livres sur l’histoire de Palmyre et de sa région. C’est ainsi qu’il a rédigé un guide sur les antiquités de Palmyre et écrit un livre sur Zénobie, la célèbre reine de Palmyre. Il participait aussi de manière active à l’organisation d’expositions sur les antiquités palmyréniennes, dont la première a eu lieu au Petit Palais, à Paris, en 1974 et a participé au nom de la Syrie à plusieurs rencontres internationales. il avait toujours soutenu de manière active les missions françaises, allemandes, polonaises, japonaises et suisses œuvrant à Palmyre. C’est ainsi que récemment il a collaboré avec une mission de l’institut allemand de Damas à une prospection géomagnétique au sud du ouadi de Palmyre, qui a conduit à la découverte d’un important quartier d’habitation dont l’existence était jusque-là insoupçonnée, au sud du ouadi de Palmyre.
Kaled al-Assaad, était l’un des plus éminents experts du monde antique. Il avait consacré sa vie à la préservation de l’un des sites archéologiques les plus importants au monde. C’est grâce à ses efforts que l’Unesco a classé le site au patrimoine mondial de l’humanité en 1980.
En janvier 2017, l’État islamique détruit le tétrapyle (monument à quatre colonnes, qui consiste en un soubassement soutenant quatre ensembles de quatre colonnes, une seule de ces colonnes est d’origine, en granite égyptien), érigé à la fin du 3e siècle et endommage la façade du théâtre romain datant du 1er siècle.
En conclusion: La cité de Palmyre abrite un site archéologique inestimable, revêt une valeur universelle exceptionnelle. Palmyre était une oasis caravanière établie lorsqu’elle entra sous contrôle romain dans la première moitié du Ier siècle et fut rattachée à la province romaine de Syrie. Sur le plan économique, l’entrée de Palmyre dans l’Empire romain, lui a permis d’accroître son rayonnement. Elle devint peu à peu une cité prospère sur la route commerçante reliant la Perse, l’Inde et la Chine à l’Empire romain, au carrefour de plusieurs civilisations du monde antique. Palmyre s’éleva, à la faveur de sa situation de carrefour stratégique, au rang de puissance commerciale de premier ordre, exerçant le monopole sur les routes caravanières entre l’Inde et l’Occident. Aussi Palmyre constituait un point de passage obligatoire sur l’une des routes qui reliaient l’Euphrate à la Méditerranée. Cela marque le début d’une grande prospérité qui dura trois siècles à la faveur d’une position unique à la frontière entre le monde méditerranéen et le monde asiatique. Partenaire à la fois de Rome à l’ouest et des Parthes à l’est, Palmyre devient une grande puissance commerciale. Jamais pourtant ce peuple aux origines mêlées ne se soumit totalement. Palmyre commence à jouer un rôle politique important lorsque l’installation des Perses à Charax menace de ruiner son commerce. La prospérité de la ville culmina au IIIe siècle, à l’époque de la reine Zénobie, qui défia l’empire romain. elle prend possession de la Syrie en 270, envahit l’Egypte et lance ses troupes jusqu’au Bosphore, avant d’être renversée en 272 par l’empereur Aurélien.
l’art et l’architecture de Palmyre unirent aux Ier et IIe siècles les techniques gréco-romaines aux traditions locales et aux influences de la Perse. Au croisement des routes, la ville a été un centre de création extraordinaire qui a généré un style artistique unique. L’ornementation architecturale, qui présente notamment des exemples uniques de sculpture funéraire, associe les formes de l’art gréco-romain à des éléments autochtones et à des influences perses dans un style profondément original. L’une des caractéristiques de Palmyre, ce sont de grandes tours funéraires à étages dans lesquelles les sarcophages étaient superposés.et sa nécropole est la plus grande nécropole romaine du Proche-Orient.
Palmyre avait une identité propre, en particulier à cause de l’origine ethnique de ses habitants. c’ést pour cela, la civilisation de Palmyre est marquée par le mélange entre un modèle gréco-romain prégnant et des traditions locales fort vivaces. En effet les familles et les grandes traditions familiales sont une des bases de l’organisation sociale. La situation de Palmyre au carrefour de la culture araméenne et de la culture gréco-romaine a fait que certains habitants de l’oasis ont porté des noms doubles. Les textes decouverts a Palmyre renforcent l’idée qu’on se fait du sanctuaire de Bel comme du centre religieux de la cité, monument emblématique du site de Palmyre. La richesse accumulée explique l’importance des monuments élevés ou achevés au IIe et IIIe siècle après J.-C. Le sanctuaire de Bel, était beaucoup plus que les autres lieux de culte, était fréquenté par les membres de nombreuses tribus. la grande colonnade constitue l’axe monumental de la ville qui, avec d’autres rues secondaires perpendiculaires également bordées de colonnes, relie les principaux monuments publics dont le temple de Bel, le Camp de Dioclétien, l’Agora, le Théâtre, d’autres temples et des quartiers d’habitations. La grande colonnade constitue un exemple caractéristique d’un type de structure qui représente une évolution artistique majeure.
Des dommages irréparables ont été causés à un chef-d’œuvre du génie humain et à l’un des centres culturels les plus importants du monde antique. La destruction des ruines de Palmyre est trés tragique. Elle est préjudiciable tant pour l’histoire, la culture et la mémoire de la région que pour le patrimoine mondial. un être humain sans passé est un être humain sans présent ni avenir.
Et palmyre fait partie de l’histoire mondiale et n’appartient pas seulement à la Syrie. il faut sensibiliser l’opinion publique à la fragilité du site et à la protection du patrimoine culturel, particulièrement en temps de conflit. Il faut éveiller les consciences de tous sur les cultures et les patrimoines du Proche-Orient ancien. Bien qu’une grande partie du site antique conserve encore son intégrité et son authenticité, les Syriens se montrant impatients de redonner sa splendeur au site et de lui faire retrouver ses touristes. On a une grande espoire que les trésors exceptionnels de la cité mêlant culture gréco-romaine, art perse et islamique, pourront de nouveau attirer les visiteurs. nous avons le devoir moral de préserver le site archeologique de Palmyre. Le plan d’action stratégique régional actuellement en préparation devrait fournir des orientations permettant d’étendre et de redéfinir le site en tant que paysage culturel, en tenant compte des zones de transition autour du site archéologique, de l’oasis et de la ville. Il importe maintenant d’établir un plan de conservation et de restauration qui traite totalement les problèmes complexes que pose ce vaste site aux multiples aspects. Cela permettrait une gestion coordonnée, l’établissement de priorités claires et d’une stratégie de tourisme culturel, et la résolution des problèmes liés à l’expansion de la ville voisine.
Palmyre est l’un des plus importants foyers culturels du monde antique, un lieu de convergence des cultures à travers les siècles, et un site exceptionnel au carrefour entre les diverses civilisations. Cela confirme que tout patchwork culturel, avec sa diversité, ouvre la voie à l’inventivité.
ملخص باللغة العربية
Résumé en arabe:
تدمر السورية كتاب واسع دون تاريخا غنيا ومشرفا لواحدة من أهم وأجمل المدن الأثرية القديمة في العالم. مدينة تراثية عالمية استثنائية وقيمة فنية وعمرانية كبيرة لا تقدر بثمن ولن تمحى أبدا من الذاكرة الإنسانية. كانت المدينة جزءً من شبكة تجارية تربط سورية ببلاد ما بين النهرين وساحل البحر الأبيض المتوسط. تؤكد اللقى الأثرية المكتشفة في الموقع أن تدمر عرفت الاستيطان البشري منذ عصور ما قبل التاريخ. ذكرت في النقوش المسمارية الآشورية والبابلية المؤرخة بالألف الثاني قبل الميلاد والمكتشفة في سورية والعراق. عندما سيطر السلوقيون على سورية عام 323 قبل الميلاد، كانت تدمر مدينة مستقلة. ورد اسم تدمر لأول مرة في المصادر اليونانية الرومانية عام 41 قبل الميلاد. وقعت تحت السيطرة الرومانية في النصف الأول من القرن الأول الميلادي وتم إلحاقها بمقاطعة سوريا الرومانية. وشهدت تطورًا حضريًا هائلاً. لعبت دوراً مهماً في الفصل بين إمبراطوريتين متنافستين عظيمتين، الإمبراطورية البارثية والإمبراطورية الرومانية، وحافظت على استقلالها حتى تاريخ تدميرها. أصبحت تدمر تدريجياً مدينة مزدهرة على الطريق الذي يربط بلاد فارس والهند والصين بالإمبراطورية الرومانية. المدينة تزداد ثراءً بسرعة. فقد سمح ضمها من قبل روما بلعب الدور الذي كان بلا شك لفترة طويلة الوسيط الإلزامي للتجار الذين يرغبون في التجارة مع بلاد ما بين النهرين والمناطق الواقعة خارجها. في عام 129، أعلن الإمبراطور الروماني هادريان تدمر كمدينة حرة وشهدت عصرها الذهبي في القرن الثاني الميلادي، ومنحها الإمبراطور كركلا لقب مستعمرة رومانية في عام 212م. خلال أزمة القرن الثالث الميلادي وحالة الحرب التي سادت بين روما والفرس تراجعت تجارة تدمر نظراً لكون الطرق التجارية غير آمنة. منذ السنوات 230، وصل الفرس الساسانيون، إلى السلطة في بلاد ما بين النهرين وإيران، وقاموا بغزوات مدمرة عديدة في سورية وفشل أباطرة روما في صدهم. ثم أوكلت روما مهمة التصدي للفرس إلى أذينة والذي نجح في هزيمة الفرس وإنهاء خطرهم وحصل على لقب أغسطس. بعد اغتياله تولت زوجته زنوبيا السلطة وبلغت تدمر في عهدها ذروة مجدها وتوسعها فسيطرت على سورية وغزت مصر ووصلت إلى البوسفور قبل أن يطيح بها وبحلمها الإمبراطور الروماني أورليان عام 272م.
بالرغم من ظهور تدمر كشريك لكل من روما في الغرب والبارثيين في الشرق، كقوة تجارية عظيمة. فإن سكانها من أصول مختلطة لم يخضعوا أبدًا بشكل كامل.
اتحد الفن والعمارة في تدمر في القرنين الأول والثاني بين التقنيات اليونانية الرومانية مع التقاليد المحلية والتأثيرات الفارسية. على مفترق الطرق، كانت المدينة مركزًا للإبداع الاستثنائي الذي ولّد أسلوبًا فنيًا فريدًا. تجمع الزخرفة المعمارية، التي تتميز بشكل خاص بأمثلة فريدة من النحت الجنائزي، بين أشكال الفن اليوناني الروماني والعناصر الأصلية والتأثيرات الفارسية بأسلوب أصيل للغاية. إحدى السمات المميزة لمدينة تدمر هي الأبراج الجنائزية الكبيرة متعددة الطوابق؛ وتضم أكبر مقبرة رومانية في الشرق الأدنى. كان لتدمر هوية خاصة بها، لا سيما بسبب الأصل العرقي المتنوع لسكانها. هذا هو السبب في أن حضارة تدمر تتميز بالمزيج بين النموذج اليوناني الروماني القوي والتقاليد المحلية القوية. هذا الخليط الثقافي، مع تنوعه، فتح لتدمر طريق الإبداع والرقي.
في الواقع، تعتبر العائلات والتقاليد العائلية العظيمة أحد أسس التنظيم الاجتماعي في تدمر. ونظراً لوقوع تدمر على مفترق طرق ثقافات عديدة، حمل بعض سكانها أسماء مزدوجة. كان معبد بل هو المركز الديني للمدينة، والنصب التذكاري الرمزي للموقع. توضح الثروة المتراكمة أهمية الآثار التي أُقيمت أو اكتملت في القرنين الثاني والثالث الميلاديين. ويشكل الرواق الكبير المحور الأثري للمدينة والذي، مع شوارع ثانوية عمودية أخرى تصطف أيضًا على جانبيها أعمدة، يربط بين المعالم العامة الرئيسية بما في ذلك معبد بل، ومخيم دقلديانوس، والأجوار، والمسرح، والمعابد والأحياء السكنية الأخرى. ويعد الرواق الكبير مثالًا نموذجيًا لنوع من الهياكل العظيمة والتي برهنت عن تطور فني كبير جداً.
تسبب تنظيم داعش الإرهابي بإحداث أضرار غير قابلة للإصلاح في الموقع الأثري والذي يمثل تحفة عالمية للهندسة البشرية وأحد أهم المراكز الثقافية في العالم القديم. تدمير أنقاض تدمر عمل إجرامي ألحق ضرراً بالغاً في كل من التاريخ والثقافة وذاكرة المنطقة والتراث العالمي. تدمر جزء من تاريخ العالم وليس فقط سورية. السوريون في هذه الأيام تواقون لاستعادة روعة الموقع وجعله مقصداً سياحياً مبهراً كما كان قبل اندلاع الأزمة السورية عام 2011. ولدينا أمل كبير في أن تكون الكنوز الاستثنائية للمدينة وما تتضمنه من تمازج ثقافي رائع وأصيل مركب من الثقافة اليونانية والرومانية والفن الفارسي والعربي والإسلامي، قادرة على جذب الزوار مرة أخرى. لدينا واجب أخلاقي للحفاظ على الموقع الأثري في تدمر. ويجب إعداد خطة عمل استراتيجية إقليمية ودولية لإعادة الإعمار وتأهيل الموقع الأثري والمواقع الحيوية المحيطة به. ومن المهم الآن أن تتضمن خطة الحفظ والاستعادة كيفية التعامل الأمثل مع المشكلات المعقدة لهذا الموقع الواسع مع جوانب متعددة. ومن المهم جداً أن يدرك الرأي العام العالمي هشاشة الموقع حاليا وضرورة الإسراع في أعمال الترميم والحفظ والصيانة، لذلك نرى أنه من أهم ما يجب القيام به أولا إيقاظ ضمير جميع الدول والشعوب.
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